Ils vont défendre fièrement les couleurs de la Broye à Landquart

«On se pose quand même des questions. Comment ça va se passer? Serai-je à la hauteur de l’événement? Sur quels adversaires je vais tomber lors des premières passes?». Ces interrogations, Simon Grossenbacher et Romain Collaud ne sont certainement pas les seuls à se les poser en ce moment. Ce dimanche, les deux Broyards de 16 ans feront partie des 150 garçons-lutteurs à entrer fièrement dans l’arène pour disputer la Fête fédérale des espoirs à Landquart. Un événement auquel ils pensent depuis plus d’une année, au moins. «J’en rêvais déjà en 2015 au moment où se déroulait la dernière édition», confie Romain, qui a mis tous les atouts de son côté pour être prêt au jour J en prenant une semaine de vacances. «J’ai fait l’impasse sur la fête cantonale valaisanne pour éviter toute blessure. J’en ai profité pour bien récupérer et revoir des vidéos afin de peaufiner les derniers détails. Physiquement, je me sens très bien. Mentalement aussi, mais peut-être que la tension va me rattraper quand je serai sur place», sourit-il.
De son côté, Simon se prépare assidûment depuis plus d’une année. «J’ai participé à quasi tous les entraînements collectifs avec la délégation romande et cantonale. Personnellement, j’ai aussi beaucoup travaillé sur ma lutte, en apportant de la diversité dans mes prises. Cela me permet d’avoir plus de réactivité pendant un combat. Voilà, j’ai l’impression d’avoir fait le maximum pour être prêt.»

Sujet complet à découvrir dans l'édition de la semaine

Bry - 22.08.2018

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Toutes les galeries

Pour la Bénichon, la fête est dans l’assiette

Estavayer-le-Lac s’apprête à dresser l’immense table de la Bénichon du Pays de Fribourg, 6e du nom, du 24 au 26 août. Le bourg médiéval va s’animer autour d’une tradition bien ancrée dans la région. Selon les organisateurs, emmenés par leur président Pierre-André Arm, l’édition 2018 se veut grandiose car elle ne sera pas seulement la fête d’une ville et d’un district, mais de toute une région et d’un canton.
En attendant le coup d’envoi, ce vendredi, il reste donc quelques heures aux Broyards pour préparer leur estomac en vue du gargantuesque menu de circonstance. Et quelques heures avant le coupe de feu, nous sommes allé rendre visite au maître boucher Laurent Droux.

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

En balade avec Max et «son» p’tit train

Le p’tit train d’Estavayer arrive sur la place de la Gare. «Bonjour, entrez déjà», lance avec joie Max Wehrle, en m’ouvrant la porte passager de sa locomotive, qui arpente les rues étroites de la Cité à la Rose depuis vingt ans. Il est 10 h, le klaxon retentira 10 minutes plus tard pour donner le départ de la première balade de la semaine, en ce lundi matin pluvieux.
«On m’a annoncé une personne en fauteuil roulant qui entrera à la Source», introduit le pilote militaire retraité, qui prend plaisir, tout en rendant service, en travaillant pour le p’tit train touristique depuis seize  ans. En ce mois d’août, c’est le lundi qu’on le trouve derrière le volant de ce véhicule de presque 14 mètres de long. «Je roule pour dépanner. Le reste du temps, j’ai la responsabilité de gérer le fonctionnement du p’tit train», explique-t-il. Car s’il faut organiser la cinquantaine de sorties spéciales et de courses VIP qui ont lieu par année, il faut aussi gérer le planning des cinq chauffeurs tout en respectant leur temps de repos légal. De plus, il est également prioritaire d’organiser l’horaire du p’tit train, qui change presque chaque mois, pour respecter au mieux la demande selon les saisons. (...)

  • Suite du reportage en images dans notre édition de la semaine.

Dans les pas de la Fée verte et du rock

A l’heure où les dernières notes de musique de Rock Oz’Arènes ne sont plus qu’un souvenir, il en est un autre qui flotte encore dans les mémoires.
«Vous êtes du Val-de-Travers?» C’est l’une des questions qu’ont posée de nombreux festivaliers à la proposition d’une Fée verte de boire une petite «bleue». Mais ce personnage est né dans un lieu imaginaire et est inspiré du Magicien d’Oz, comme le nom que porte le festival. En revanche, la personne qui se cache derrière un costume élaboré, arrive, elle, de Faoug. C’est Lisa Perregaux.
Depuis 2016 et la présentation dans les alcôves de créations artistiques inspirées du roman, la jeune femme endosse ce rôle et enfile la tenue qu’elle a créée de la coiffe aux chaussures, «sauf le serre taille», tient-elle à préciser. «J’entretiens le mythe de la fée en participant chaque année au festival. Mais, pour garder une part de mystère, on ne sait jamais quand et où je vais apparaître», explique Lisa à l’heure de la métamorphose. (...)

  • Suite du reportage dans notre édition de la semaine.

Les forains, fidèles piliers du Tirage

Le rituel paraît immuable, peut-être aussi vieux que le Tirage lui-même. Le lundi précédant les festivités, un cortège de caravanes emplit la cour de l’école de la Promenade, tandis que manèges et autres attractions s’ouvrent comme d’immenses fleurs de métal sur la place des Tireurs à la cible. Couleurs chatoyantes et souvenirs d’enfance.
Les forains sont de retour. Et c’est peu dire que certains connaissent l’endroit. Liliane Tissot-Wetzel par exemple, 86 ans, vient au Tirage depuis plus de soixante ans. Attablée à l’ombre de sa caravane, entourée de sa famille, elle évoque quelques souvenirs, à la veille de la 282e édition du Tirage, qui s’ouvre demain, vendredi 17 août, et durera jusqu’au lundi 20 août. «Nous n’étions pas équipés de toilettes ni de douches et il fallait aller chercher l’eau avec un broc pour faire la lessive. Aujourd’hui, les jeunes ont tout, mais ils sont quand même fatigués», raconte l’octogénaire dans un sourire malicieux. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

Une Bénichon au centre

Staviacois patenté, mais Broyard avant tout, Pierre-André Arm dirige la Communauté régionale de la Broye et a hérité avec bonheur de la présidence de la Bénichon du Pays de Fribourg qui aura lieu dans sa ville, dans huit jours. C’est plus qu’il n’en faut pour aiguiser les appétits, en attendant cuchaule, jambon, gigot, meringues et crème double. (...)

  • Interview et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

La saison s’annonce prolifique pour les fruits pressés

Le pressoir communal est en fonction depuis la semaine passée et s’arrêtera vers la fin octobre. Dans ses vieilles entrailles passent pommes, poires, raisins et même des coings. Les clients peuvent faire presser leurs fruits et pasteuriser leur jus. «Certaines personnes ne viennent que pour la presse, expose Christian Gilliand, le gérant-exploitant de ce pressoir depuis trois ans. Ils utilisent ensuite leur jus pour la distillation ou pour faire du vin cuit.» (...)

  • Suite et reportage illustré dans notre édition de la semaine.

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Des souvenirs plein la tête

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Qualifiées pour la finale de la Coupe fribourgeoise des actives, les joueuses de Cugy-Montet-Aumont-Murist ont savouré chaque minute de ce match le 9 mai...