Les poussines qu’élève Michel Ding s’arrachent comme des œufs de Pâques. Il est l'un des rares éleveurs à s'occuper de poules dont certaines races sont en voie d'extinction en Suisse. Au-delà de la pandémie, la tendance à mettre des poules dans son jardin est croissante.

Blanc, brun, chocolat ou émeraude: des œufs de Pâques, il en a de toutes les couleurs. Et pas parce qu’il les teint. A Murist, Michel Ding élève des poules particulières. Elles sont noires, bleu nuit, saumon, ou sans plumes mais recouvertes d’un duvet de soie blanche ou fauve, douces à caresser comme des chats. L’araucana, qui n’a pas...
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