Grosse pertes de rendement: l’agriculture va payer cher les importantes et longues précipitations. Le point avec un maraîcher et un viticulteur.

«En 24 ans que je fais ce métier, je n’ai jamais vu ça.» Au milieu de ses 7 hectares de cultures maraîchères à Sédeilles, Urs Gfeller est dépité. La terre est gorgée d’eau, rien ne pousse. Les légumes d’aujourd’hui en sont encore au stade de plantons.
«Plantes et racines ont besoin d’oxygène. Avec toute cette eau, la...
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