«Sans l’adrénaline, j’aurais déjà arrêté»

«Pour être honnête, je trouve ennuyant au possible de faire des allers-retours dans un bassin, je n’aime pas du tout ça.» Lorsqu’il se lance à l’eau pour décrire son sport, Luc Dillier a une réponse plutôt cinglante qui peut choquer. Mais pourquoi diantre a-t-il choisi une discipline aussi ingrate? La réplique du Broyard de 19 ans nous rassure rapidement. «C’est l’adrénaline ressentie lors de chaque compétition qui me fait continuer, sans elle j’aurais déjà arrêté, explique-t-il. Se tenir sur le plot de départ en attendant le signal du starter provoque des sensations géniales, c’est à ces moments-là que je sais pourquoi je fais ce sport.»

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