Ça fourmille, même après la fête

Les 40 000 festivaliers qui ont foulé le sol de Rock Oz’Arènes le week-end dernier sont rentrés chez eux. Mais sur le site de la fête, le calme est loin d’être revenu lundi matin. Les camionnettes de livraison se mêlent aux élévateurs et le bruit des visseuses accentue la cacophonie ambiante. Le démontage est lancé! 
«On n’a pas dormi, avoue Jessica, de l’équipe des «électros». La vingtaine de bénévoles qui se consacre aux installations électriques a commencé dès la fin de la soirée humour du dimanche pour retirer les nombreux câbles, sans être perturbé par le trafic divers. «C’est la première année que je suis dans l’équipe et j’avoue qu’avant je ne me rendais pas compte de toutes les lumières installées sur le site», rigole Jessica. 
 Un peu plus loin, les habits orange et vert ne trompent pas. «A trois, on soulève!» La Protection civile est mise à contribution pour soutenir la cinquantaine de bénévoles. Une quinzaine d’hommes s’attelle aux travaux plus musclés. «Il y a pire comme mission pour la semaine», sourit un civiliste.

Reportage à découvrir dans notre édition de ce jeudi. Galerie photo à voir sur labroye.ch.