Les ouvriers de l’association Pierre à feu portant perche et rame (de g. à dr.): Yves-Alain Dürig, Sylvain, un ami venu 
de Corrèze, François Rossel, Stephen Pepin et Jean-Luc Aubert.Photo Pierre Köstinger

Des radeliers loin d’être des billes

«Mieux vaut que le manche de la rame soit trop long. On sera pas fichus de donner un coup de scie le moment venu.» Tailleur de pierre, Stephen Pepin donne quelques explications...