L’inline downhill, une discipline de descente qui décoiffe

Combinaison collée au corps et silhouette élancée perchée sur une longue rangée de roues, Stéphane Rapaz s’est mis en condition pour parler de sa passion de toujours: le roller de descente. Un sport où les accidents ne sont pas nombreux, mais qui exige tout de même une bonne assurance, avec des vitesses pouvant atteindre 90 km/h dans des pentes à 10% de moyenne. «Ce n’est jamais assez raide pour nous», rigole Stéphane. Comme tous les adeptes, le Broyard de 44 ans peine parfois à trouver les terrains d’entraînement adéquats dans la région. «Difficile de dénicher des descentes asphaltées sans trop de trafic, mais ça se trouve. Je m’entraîne aussi régulièrement avec d’autres riders à la vallée de la Jeunesse à Lausanne où les gens ont pris l’habitude de nous côtoyer.»

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