La tension monte à l'approche du Tour

Comme tout président d’organisation qui se respecte, Cédric Schaller aurait pu se contenter d’accueillir le Tour de Romandie à Payerne en toute sobriété. Mais c’est mal connaître le personnage et son comité qui ont rivalisé d’imagination pour faire de l’étape en boucle du 28 avril une fête inoubliable, au risque, peut-être, de faire passer les autres arrivées de l’édition 2017 pour soporifiques. A une semaine de la manifestation, la tension monte chez le Broyard et son équipe. Il livre ses impressions.
– Cédric Schaller, la venue du TDR à Payerne approche à grands coups de pédale. Quel est le sentiment qui domine chez vous?
– Il y a d’un côté de l’impatience, ça fait 8 mois qu’on planche dessus avec le comité. De l’autre une certaine appréhension, car on ne sait pas ce qui peut arriver le jour J, que ce soit au niveau météo, fluidité du trafic, sécurité etc. Nous n’avons pas envie de décevoir, mais on ne maîtrise pas tout non plus. C’est donc un mélange entre excitation et appréhension, un sentiment nouveau pour moi qui suis habituellement quelqu’un de très serein.

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