Le chat forestier (Felis silvestris silvestris) se distingue de nos chats domestiques par sa taille, son gabarit trapu, son pelage moins tigré et sa queue touffue, annelée et se terminant de noir.Photo Christophe Sahli

Le retour d’un grand discret

Un premier monitoring réalisé dans la Grande Cariçaie montre que l’installation du chat sauvage progresse sur la rive sud du lac de Neuchâtel. Du Jura, ce félin aurait colonisé notre région par les deux extrémités du lac.

BROYE

Longtemps confiné dans les forêts de l’Arc jurassien, le chat sauvage poursuit son expansion sur le Plateau. Dans la Grande Cariçaie, on observe régulièrement sa présence...