Julien Houser parle des rencontres importantes qui ont forgé sa route de maréchal-ferrant. Du bonheur de participer en équipe pour la Suisse aux grands rendez-vous équestres, comme à Tokyo lors des derniers Jeux olympiques. Maréchal-ferrant de chevaux d’élite, il s’est lié d’amitié avec Steve Guerdat (à g. sur la photo) et continue de s’occuper de ses montures. Chez lui, à Sévaz, il ne s’occupe plus que des chevaux ayant des problèmes de pieds. Epanoui dans sa vie et dans son travail, il ponctue sa conversation de: «J’ai de la chance.»

Les fers à cheval porte-bonheur de Julien Houser

«J’ai su très tôt que je voulais travailler avec les chevaux», raconte Julien Houser. Binational franco-suisse, enfant, il passait ses vacances au Landeron. «J’y montais à...