Quatre jours sur le toit de l’Europe

Cris de victoire, cris de joie, puis soudain des joueurs qui exécutent une danse étrange devant le public médusé de la Ospa Arena. Le Rolling Aventicum vient de conquérir de haute lutte sa place sur le toit de l’Europe. Des centaines d’images défilent dans la tête du capitaine David Carrard au moment de soulever le trophée. Parmi elles, les heures animées dans l’autocar pour rejoindre Rostock/All, les franches rigolades avec les coéquipiers sur et en dehors du terrain, les instants d’euphorie et parfois de doutes; certainement aussi, le déroulement souvent dramatique des sept matches qui ont amené son équipe au septième ciel. Certes, Avenches n’est pas champion, mais cette place sur le podium y ressemble presque, au vu de la liesse qu’elle provoque.

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