Sangliers parqués dans la Cariçaie

«Trop, c’est trop», disaient les agriculteurs de Chevroux, dont les cultures sont régulièrement victimes de dégâts causés par les sangliers de la Grande Cariçaie, en janvier 2014. Dans un courrier envoyé à Jacqueline de Quattro, cheffe du Département du territoire et de l’environnement, ils menaçaient d’enfermer les cochons sauvages dans la réserve, plutôt que de clôturer leurs propres parcelles. Samedi dernier, aidés par des confrères venus de Grandcour ou Payerne, ils ont mis leur menace à exécution, installant plus d’un kilomètre de barrière sur leurs propres parcelles longeant les forêts de la réserve.

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