Sur le mur, l’artiste haute-lissière, Jenny de Beausacq, semble veiller sur le maître des lieux Alain Gilliéron qui a fait rayonner ses œuvres.

Alain Gilliéron entend aussi ceux qui ne sont plus

Destiné par son père à devenir postier, il sera danseur, secrétaire, boulanger et restaurateur par amour. Il créera aussi L’Estrée. Un lieu où il a donné la parole aux invisibles, défendu des œuvres, leurs créateurs et pour guérir des blessures.

Parler avec Alain Gilliéron, c’est se plonger dans un univers particulier. Un monde où l’ancien «bistrotier» du café de la Poste à Ropraz a convoqué la littérature, la musique, la peinture, le théâtre. C...