Sur le papier, tout est encore possible pour Cédric Althaus

Un passage à la télévision régionale Canal 9, une réaction au micro de la RTS, puis une autre intervention sur une chaîne de radio locale. Cédric Althaus n’avait probablement jamais été aussi sollicité par les médias que vendredi dernier à Martigny où se tenait la conférence de presse du Rallye international du Valais, le rendez-vous incontournable du sport automobile en Suisse. Et pour cause, le Moudonnois est l’un des trois derniers pilotes à pouvoir encore prétendre au titre de champion suisse des rallyes. «C’est bien pour l’intérêt de l’épreuve que tout reste ouvert avant cette dernière étape du championnat, ça va mettre du piment à la course», se réjouit le pilote du Team ART, tout heureux de se trouver dans la position de pouvoir remporter le trophée.

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Retour du cyclocross à la ferme à Ménières

Le FarmCX est probablement la seule course au monde où le vainqueur repart avec une chaise à traire sous le bras. Fort du succès généré par la première édition en 2016, Yves Corminboeuf n’a pas hésité à remettre le couvert ce samedi à Ménières. «D’autant plus que ce sera la dernière opportunité pour organiser une telle épreuve ici puisque je vais reprendre le domaine de mes parents et que la ferme sera rénovée», confie Yves. Le Broyard a repris les ingrédients qui avaient fait recette il y a deux ans. «Le parcours sera plus ou moins similaire, avec la traversée des hangars, du champ à tabac, de l’étable, du paddock, de la serre à sable et du tas de fumier (sans fumier on le précise). Ça s’annonce vraiment bien», se réjouit-il. (Photo: Samuel Jacquat)

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Mais où va s’arrêter la Course des Taleines?

Les chiffres sont éloquents: 346 en 2016, 398 en 2017 et 420 cette année… Mais où cela va-t-il s’arrêter? La Course des Taleines de Vulliens a connu un nouveau record de participation à l’occasion de sa 31e édition samedi dernier. De quoi réjouir et combler son président Simon Chappuis, qui peut se montrer fier du travail accompli par toute l’équipe d’organisation, toujours dynamique et innovante.

Produits régionaux en vedette
Symboles de la course, les produits régionaux ont cette année encore été mis en valeur. Le concept plaît aux coureurs et est devenu au fil des ans une véritable marque de fabrique. Chaque participant adulte a reçu ainsi dans un cornet une «bière du Jorat» brassée quelques mètres plus loin, un jus de fruits 100% bio, un yogourt de la fromagerie d’Auboranges, une pomme d’un verger du village et une barre de céréales artisanale. Quant aux 3 premiers de l’épreuve, ils sont repartis avec une courge, du miel et de l’huile de colza ou 5 litres de jus de pomme, des produits tous issus de Vulliens. Les papilles n’ont pas été oubliées pour l’après-course puisque les coureurs, supporters et villageois, ont pu déguster de délicieux filets de sandre accompagnés de frites, locales naturellement.

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Une fête réussie sur tous les plans

Le Club Olympic Domdidier n’a pas manqué son rendez-vous avec l’histoire. Le club a passé le cap des 70 ans avec une victoire face au RS Singine, affirmant sa suprématie cantonale devant près de 150 spectateurs passionnés. Après des premiers combats compliqués qui ont tourné à l’avantage des Singinois, les Diderains ont renversé la vapeur après la pause, en remportant 4 des 5 derniers matches. Les piliers de l’équipe que sont Thibaut Lambert, Xavier Eggertswyler et Denis Ismajili n’ont pas failli. Les lutteurs broyards ont fini par s’imposer 25 à 17 et prennent provisoirement la 2e place du groupe, synonyme de play-off. Pourvu que ça dure!

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Entre changements d’air et nouveau souffle

Les voyages forment la jeunesse certes. Mais en sport, rien ne vaut la stabilité. Gauthier Descloux en connaît un rayon. Le jeune portier broyard a passablement bougé la saison dernière, l’entamant à Genève-Servette, avant de filer à Ambri-Piotta, puis de revenir chez les «Grenat» en décembre. Moment où il se blessait en arrêtant un penalty, victime d’une déchirure aux ischio-jambiers. «Cette blessure est vraiment survenue au mauvais moment car je restais sur un bon début de saison durant lequel j’ai beaucoup joué. Mais ça reste une saison enrichissante pour moi.»
Une blessure désormais derrière lui. «J’ai fait pas mal de renforcement musculaire cet été pour éviter que ça lâche de nouveau», explique Gauthier, qui a complété sa préparation individuelle avec des séances de boxe. «Ça m’a beaucoup apporté au niveau de mon agilité, de ma vitesse de déplacement et de mes réflexes.»

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La lutte s’annonce difficile pour le CO Domdidier cette saison

La saison du Club Olympic Domdidier devrait être aussi compliquée que la précédente, peut-être plus. Le club diderain a déjà pu le constater le week-end dernier à Martigny à l’occasion de son match de reprise dans le championnat de Challenge League. Les Broyards n’ont pas eu la moindre chance face à Team Valais, s’inclinant sur le score sans appel de 29 à 9. Seuls Thibaut Lambert, aux points, et Yohan Burri, sur abandon, ont remporté leurs combats côté broyard.
Conscients de la difficulté
«On était conscients que ce serait difficile face une équipe ambitieuse qui possède des lutteurs en ligue A et un effectif riche après la réunion de Martigny, Ilarsaz et Conthey», explique Xavier Eggertswyler. Le lutteur et président du club relève tout de même des satisfactions. «La première victoire de Yohan (Burri) qui vient de commencer la lutte, même si c’est sur un abandon de son adversaire, et la bonne prestation de Nathan Morier, 16 ans, qui s’est incliné de très peu.»

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Le titre de champion de France pour Samuel Trueb

Performance hors du commun réalisée le week-end dernier par Samuel Trueb sur le circuit de Nogaro. Le pilote broyard y a conquis le titre de champion de France Promosport dans la catégorie 500. Un succès inédit pour un pilote suisse. «Il paraît même qu’aucun pilote étranger ne s’était imposé dans cette compétition depuis sa création», savoure Samuel, à qui il ne manquait que deux points pour s’assurer définitivement le trophée. Encore fallait-il ne pas se rater lors de l’ultime épreuve. En se classant 4e et 7e, il a parfaitement assuré le coup. «J’avais quand même un peu de pression car on n’est jamais à l’abri d’un pépin mécanique ou physique», rappelle le Fétignois de 27 ans, qui s’impose finalement avec 60 points d’avance sur Lucas Meunier. Dominant.

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Tracé de Mannens en juge de paix

Ce n’est pas tous les jours qu’un circuit peut accueillir des finales du championnat suisse de motocross. C’est à celui de Mannens qu’a été attribué ce privilège samedi dernier, dans une atmosphère devenue soudainement fraîche et humide. Les dernières incertitudes y ont été levées dans les catégories inter. En MX open, le pilote français Jason Clermont s’impose finalement avec 17 points d’avance sur son dauphin, grâce notamment à sa victoire en seconde manche. Membre du MC Tout Terrain et du club broyard des Combremonts, Alain Schafer a dû se contenter de la 5e place finale, après s’être classé 5e et 2e à Mannens. En MX2, le tenant du titre Kilian Auberson a préservé assez facilement sa première place, devant Luca Bruggmann.

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Ils vont défendre fièrement les couleurs de la Broye à Landquart

«On se pose quand même des questions. Comment ça va se passer? Serai-je à la hauteur de l’événement? Sur quels adversaires je vais tomber lors des premières passes?». Ces interrogations, Simon Grossenbacher et Romain Collaud ne sont certainement pas les seuls à se les poser en ce moment. Ce dimanche, les deux Broyards de 16 ans feront partie des 150 garçons-lutteurs à entrer fièrement dans l’arène pour disputer la Fête fédérale des espoirs à Landquart. Un événement auquel ils pensent depuis plus d’une année, au moins. «J’en rêvais déjà en 2015 au moment où se déroulait la dernière édition», confie Romain, qui a mis tous les atouts de son côté pour être prêt au jour J en prenant une semaine de vacances. «J’ai fait l’impasse sur la fête cantonale valaisanne pour éviter toute blessure. J’en ai profité pour bien récupérer et revoir des vidéos afin de peaufiner les derniers détails. Physiquement, je me sens très bien. Mentalement aussi, mais peut-être que la tension va me rattraper quand je serai sur place», sourit-il.
De son côté, Simon se prépare assidûment depuis plus d’une année. «J’ai participé à quasi tous les entraînements collectifs avec la délégation romande et cantonale. Personnellement, j’ai aussi beaucoup travaillé sur ma lutte, en apportant de la diversité dans mes prises. Cela me permet d’avoir plus de réactivité pendant un combat. Voilà, j’ai l’impression d’avoir fait le maximum pour être prêt.»

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Voiles au vent 75 ans durant

Un lac bleu azur, un soleil brillant de mille feux, des conditions idéales qui ont ravi les organisateurs de la fête et tous ceux qui y ont participé. Tout a été mis sur pied dans la simplicité, ce qui a grandement contribué au charme des diverses animations. Dans l’après-midi, les régates d’Optimist ont rassemblé 16 bateaux et se sont déroulées dans la bonne humeur sans la pression des résultats. Dans une ambiance festive et conviviale, l’apéritif et le repas ont réuni les membres du club et leurs amis qui ont eu tout loisir d’apprécier le concert de Vincent Barbone & The Free Wheels. Avec cette fête aussi chaleureuse que sympathique, c’est une nouvelle page d’histoire qui s’est écrite dans le livre déjà volumineux du club. (...)

  • Suite et reportage imagé dans notre édition de la semaine.

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