L’orge fermenté est introduit dans l’alambic par Martin Rihs qui va ainsi fabriquer l’éthanol servant de base au produit désinfectant. Sur l’image de droite, le mélange est fait avec tous les ingrédients et c’est la mise en flacon des solutions, ici à l’aloe vera.Photos rémy gilliand

De bouilleur de cru à fabricantde désinfectant, il n’y a qu’un pas

«Tu as beau essayer de te frictionner les mains à la gnôle, ça n’aura aucun effet, aussi forte soit-elle», rigole Martin Rihs, tandis qu’il fait le plein de son alambic avec de...