Domdidier a fait le spectacle à Yverdon

La FSG Domdidier n’a pas manqué son rendez-vous avec le championnat suisse de sociétés, de retour en Suisse romande après plus de 20 ans d’absence. A Yverdon-les-Bains, les gymnastes broyards ont proposé deux programmes séduisants aux juges, l’un aux anneaux balançants à la patinoire, l’autre au sol exécuté à la Marive. Avec des notes de 9,10 et de 9,44, la performance des Broyards a répondu aux attentes de leurs moniteurs Cyrielle Verdon et Benoît Corminboeuf. «Tout ce que nous avions travaillé à l’entraînement est passé, se réjouit le duo. Aux anneaux, nous avons réalisé de super stations et évité les erreurs. Malgré deux ou trois hésitations, l’attitude au sol était également au top et le public a montré son enthousiasme.»

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La relève romande se développe

Exercices de force, séances de gainage et d’étirements, entrecoupés par les conseils avisés de Dominique Hischier. Ça travaillait dur samedi dernier dans le dojo de l’école de judo Dégallier à Yverdon-les-Bains où une vingtaine de jeunes judokas transpiraient sur le tatami. La journée d’information du Centre régional de performance qui s’y déroulait a permis à l’audience présente de jeter un regard global sur le développement actuel de la relève romande.
Voilà deux ans que cette structure d’entraînement a été créée et permet aux meilleurs talents des cantons de Vaud, Genève, Neuchâtel et Fribourg, d’éclore dans les meilleures conditions. «L’idée de base était de professionnaliser le judo en Suisse et de le structurer, afin de le rendre plus médiatique d’une part et nous rapprocher des meilleures nations de la discipline d’autre part», explique Dominique Hischier, entraîneur en chef du Centre et également responsable de l’équipe suisse M18.

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Le moto trial, pas qu'une histoire de mecs

L’image d’un trialiste à l’ancienne est souvent celle d’un vieux motard à la dégaine insouciante, aux bras noueux et portant volontiers la moustache. Cette idée reçue aura été mise à mal cette année à Vulliens où le traditionnel Trial des Vestiges se déroulait le week-end dernier. Pratiquée uniquement par des «gentlemen» à sa création en Angleterre au début du XXe siècle, la discipline s’est peu à peu ouverte aux femmes, même si ces dames peinent encore à franchir l’obstacle de la reconnaissance aujourd’hui. «Elles se débrouillent plutôt bien en tout cas», confirme Jean-Daniel Allaman, président d’organisation des Vestiges, admiratif.

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Les Romands prêts à défier les Alémaniques

Une Journée fédérale des espoirs ne se vit qu’une seule fois dans la vie d’un lutteur. Autant dire que cet événement génère une excitation monstre chez les privilégiés qui y participent. Ils seront 27 garçons à défendre l’honneur romand ce week-end à Aarburg face à l’armada alémanique. Chef technique de la sélection, Fredy Schlaefli a prodigué ses derniers conseils lundi au local du Club des lutteurs d’Estavayer-le-Lac. «N’oubliez pas de beaucoup dormir ces prochains jours et pensez que vos adversaires sont faits exactement comme vous, ils ont tous un dos», rassure le mentor, qui espère ramener six distinctions d’outre-Sarine, comme en 2012.

Dernières nuits difficiles
Deux lutteurs régionaux sont prêts à plaquer des dos dans la sciure argovienne et lutteront dans la catégorie des garçons nés en 2000. Avec un palmarès aussi long que le tour de ses bras - il compte déjà 106 palmes à son actif - Grégoire Loup peut légitimement avoir de l’ambition. «J’attends cette journée avec impatience, se réjouit le lutteur de Montmagny, même si les deux dernières nuits vont être difficiles à passer. Ça va trotter dans la tête, car il n’y a plus de petits bras à ce niveau-là.» Impérial en Suisse romande, Grégoire peine encore à s’imposer face aux concurrents alémaniques. «Ils doivent avoir la lutte dans le sang», tente-t-il d’expliquer en souriant.

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Guillod dans la cour des grands

En pleine bagarre pour le titre de champion du monde MX2, Valentin Guillod s’est accordé un intermède pour préparer son avenir. Le Vulliérain, vainqueur de trois Grands Prix cette saison, est contraint de monter en première classe la saison prochaine, puisqu’il aura alors 23 ans, l’âge limite pour piloter dans sa catégorie actuelle. Le Fribourgeois fera ainsi ses grands débuts dans la catégorie reine de la discipline en 2016.
Le groupe avant l’argent
Contacté par plusieurs usines qui lui ont fait miroiter quelques offres alléchantes, Valentin a souhaité se lancer dans cette nouvelle aventure avec son équipe actuelle, Standing Construct Yamaha, dirigée par Tim Mathys et sous la houlette de son entraîneur Yves Demaria. «Il était venu me chercher début 2013 alors que plus personne ne voulait de moi, affirme le Fribourgeois. Il a pris des risques en voulant travailler avec quelqu’un qui n’était pas bon à ce moment-là.» Pari gagné pour l’ancien champion du monde français qui a vu son protégé gravir le sommet de l’Europe en 2013 et terminer 7e du championnat du monde en 2014. «Aujourd’hui, on se bat pour le titre mondial», se réjouit Valentin, qui a donc privilégié l’aspect humain pour prendre sa décision. «Je voulais rendre à l’équipe la confiance qu’elle m’avait accordée.»
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Le FC Estavayer retire son équipe avant la reprise

Depuis mardi sur le site de l’Association fribourgeoise de football (AFF), le sigle RE, signifiant un retrait d’équipe, accompagne le nom du FC Estavayer-le-Lac dans le groupe de 2e ligue du championnat de l’AFF. La compétition se jouera donc à 13 équipes au lieu de 14, le premier relégué de la saison 2015-2016 étant ainsi déjà connu. Alors que la formation avait pu se maintenir en juin dernier au prix d’un incroyable second tour, le départ de plusieurs joueurs a contraint le comité à prendre cette décision.

Développement et réactions à lire dans notre édition de la semaine. 

Le foot régional remet les crampons

A l’heure de la reprise de la deuxième ligue interrégionale, Thierrens, Portalban et Payerne visent tous les trois la première partie du classement.

Alors que le FC Thierrens se tourne vers l'avenir, Portalban veut confirmer et Payerne compte sur ses jeunes. Tour d’horizon des acquis, des changements et des ambitions avec les entraîneurs, à découvrir dans notre édition de la semaine.

Tous dans la roue du champion de Suisse

Ce n’est pas tous les jours qu’on peut rouler avec le champion de Suisse, qui plus est vainqueur d’étape sur le dernier Tour de France. Mercredi dernier à Payerne, près de 130 cyclistes amateurs ont eu cette heureuse opportunité, en prenant la roue de Danilo Wyss, le temps d’une balade sur les routes de la région.

Chevroux s'est fait un nom dans le monde du paddle

S’il y avait encore des gens pour penser que le stand up paddle est un sport uniquement récréatif, ceux-ci ont été rapidement convaincus du contraire après avoir assisté au championnat suisse à Chevroux. Equilibre, force, technique et endurance: ce sport de glisse venu d’Hawaii demande une débauche d’énergie folle, à l’image d’un Hakim Dridah, 2e de la course d’endurance, qui s’effondrait de tout son long sur la plage après un effort intensif de 12 kilomètres. Le Lausannois de 20 ans a été l’un des héros de la journée, puisqu’il remportait ensuite l’épreuve reine, appelée «technical race», quelques heures plus tard, devant Peter Tritten. Quadruple tenant du titre, le Nyonnais Steeve Fleury complète le podium.

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Une surprise appelée Camille Bauer

Les Nicola Spirig, Sven Riederer et autres Jolanda Annen n’ont pas été les seuls Suisses à briller à Genève, le week-end dernier. D’autres athlètes ont porté haut les couleurs helvétiques lors des championnats d’Europe de triathlon. Parmi eux, Camille Bauer qui a triomphé dans le sprint de catégorie d’âge 16-19 ans. La Broyarde a bluffé tout son monde pour son premier grand rendez-vous européen, elle y compris. «Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre et quelles adversaires j’allais retrouver en face, avoue-t-elle, l’objectif était surtout de découvrir cet événement.» La Lucensoise a fait beaucoup plus que de l’exploration sur la rade genevoise, s’imposant devant la Britannique Kayleigh Adams avec deux secondes d’avance.

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