Le coach Jérôme Dupasquier, positif malgré la défaite.Photo hugo monney

Cheyres-Châbles-Font craque en fin de match et rate sa rentrée

Samedi dernier à domicile, les Etourneaux n’ont pas su concrétiser leurs occasions et voient leur adversaire du jour revenir à deux petits points dans la course aux finales. La formation de Jérôme...

Roland Sturny a réalisé un exploit en décrochant le titre dans la catégorie longbow master à Macolin.

Le club des Ours blancs à la fête

En verve depuis le début de la saison, les archers du club corçallin des Ours blancs ont poursuivi sur cette lancée au championnat suisse disputé le week-end dernier à Macolin. Neuf membres du club étaient...

Pour une première, ils ont tapé dans le mille

Leurs dernières flèches décochées, les archers s’empressent d’aller vérifier les cibles en ce dimanche après-midi avant de tirer une salve d’applaudissements. Des acclamations destinées notamment au club organisateur des Ours blancs dont le travail a comblé les 150 participants en lice deux jours à Payerne. Une première pour la société corçalline en 26 ans d’existence. Celle-ci doit beaucoup à la persévérance d’une personne. Audrey Marmy s’est battue durant trois ans pour mettre sur pied cet événement. «Au début, on ne m’a pas prise vraiment au sérieux quand j’ai lancé l’idée», glisse-t-elle. Mais il en fallait plus pour décourager cette Staviacoise de 20 ans qui a plus d’une corde à son arc. «Je me suis renseignée pour savoir comment se déroulait une telle organisation et ai établi un budget approximatif.» La troisième tentative aura été la bonne. Car même les plus réticents ont dû l’avouer à la fin, le bilan de cette première est très positif.

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Festival d'émotions pour Anaïs Coraducci

Disputer un concours sous pression ne semble pas déstabiliser Anaïs Coraducci qui participait à une compétition d’envergure internationale la semaine dernière à Sarajevo, hôte du Festival olympique de la jeunesse européenne (EYOF). Certes, la Cheyroise de 15 ans n’y a pas battu son record de points établi fin octobre au Grand Prix de Zagreb (159,19 points). Mais le contexte n’était évidemment pas le même. «Il y avait beaucoup plus de pression cette fois, avec du monde dans les tribunes pour regarder. C’était assez intimidant et plus stressant que d’habitude, mais j’ai bien réussi à gérer cette situation», se réjouit Anaïs, déjà de retour sur la glace en début de semaine à Turin pour s’entraîner après un passage éclair à la maison en Suisse.

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Maintien et record pour Vully-Broye

Cette journée aurait pu tourner au cauchemar pour Vully-Broye, elle restera finalement comme l’un des meilleurs souvenirs de la société. Samedi dernier à Reiden dans le canton de Lucerne, les Broyards ont assuré leur maintien dans le championnat suisse par équipes de ligue nationale A. Une première dans l’histoire de la société après l’échec subi en 2012. La compétition avait pourtant fort mal commencé par une défaite face à Feld-Meilen, après une performance d’ensemble assez moyenne.

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Pierre Bovet, comme à la maison à Zinal

Le soleil règne en maître ce jeudi après-midi à Zinal, alors qu’à 150 kilomètres de là, la Broye est toujours plongée dans la grisaille. La station du val d’Anniviers accueille plusieurs épreuves FIS de vitesse durant toute la semaine. Un concurrent passe en trombe sur la piste, flanqué du dossard 54. Pas de doute quant à son identité. Avec une voiture de course sur le casque, Pierre Bovet a vite trouvé son signe de reconnaissance dans le milieu. Un bolide? Logique pour cet adepte de la vitesse. «C’est tellement grisant, j’adore ça», s’exclame le Vulliérain, qui a retrouvé le sourire après le bon résultat décroché lors de ce super-G, le second de la journée.

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Leurs efforts font avancer des causes

C’est ce qu’on appelle faire corps. Au marathon de la Broye, il y a ceux qui pédalent sans bouger pour faire avancer des causes. Et d’autres qui les font avancer sans pédaler. Samedi, ils étaient près de 250 à unir leurs efforts durant six heures à la Prillaz d’Estavayer pour soutenir le travail de trois associations, dans une ambiance très musicale.
Pako’z’ôtre est l’une d’entre elles. Basée à Monthey/VS, cette association a pour objectif d’apporter une étincelle de joie dans le quotidien des familles d’enfants touchés par le cancer. «Ça fait plaisir de voir qu’on pense à nous, même dans la Broye», sourit sa présidente Sandra Pache, alors que les participants transpirent déjà à grosses gouttes dans la salle voisine. Pour la bonne cause puisque leurs efforts contribueront à mettre sur pied les actions concrètes menées depuis quatre ans par le collectif valaisan, comme la distribution de cadeaux aux enfants hospitalisés, l’organisation de dédicaces et d’autres événements destinés à redonner le sourire aux enfants malades. «Une partie de l’argent reçu servira à payer la production de matériel, une autre sera reversée à des associations locales actives auprès des enfants malades.»

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Jérôme Ogay victorieux aux 24 heures de Dubaï

Comme dans un rêve. Jérôme Ogay et ses coéquipiers Yannick Mettler, Fabian Danz, Stefan Tanner et Marlon Menden ont traversé l’épreuve des 24 Heures de Dubaï en s’imposant dans la catégorie TCR au volant de leur Golf GTI. Mieux, l’équipe helvétique (Autorama Motorsport) s’est adjugé le classement général du TCE Series lors de ce rendez-vous prestigieux et très relevé qui attire les plus grosses équipes et plusieurs pilotes professionnels.

Rentré lundi en Suisse avec deux immenses trophées sous le bras, Jérôme Ogay n’en revenait toujours pas. «Pour gagner cette épreuve, il faut pouvoir passer à travers toutes les embûches qui sont très nombreuses, à commencer par le trafic. Une centaine de voitures se bousculent sur un circuit long de 5 kilomètres. Il y a des bouchons en pleine course, c’est juste de la folie!» souligne le pilote de Lovatens qui avait participé une première fois à cette course mythique en 2016. A la clé, un abandon, comme bon nombre de concurrents chaque année. «Un tiers des voitures ne rallient jamais l’arrivée et des dizaines d’autres finissent la course dans un piètre état. Ce n’est pas pour rien si les équipes emmènent avec elles des containers entiers de pièces de rechange pour arriver au bout», sourit Jérôme.

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